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J'ai lu votre livre d'une seule traite dès mon retour à Meudon. 
Bravo pour ce récit passionnant dans la Vendée des années de guerre. Quelle femme d'exception que votre Marie des Marais.
J'ai apprécié votre délicatesse à rappeler vos sources.
Bien sincèrement
Jacqueline Colleu
Je viens de terminer le Baron du Plessis, Joël.
Le dernier tome de la trilogie « Marie du marais ».
Sans doute, l’héroïne, Marie, première sage-femme à exercer dans le sud Vendée, femme courageuse qui bravait le froid, les éléments, pour porter secours aux plus démunis dans cette région de canaux difficiles, ne pensait pas avoir un jour un tel hommage.
Tu salues son courage et en même temps tu nous fais revisiter de grands moments d’histoire avec celui de Paul prisonnier en Allemagne pendant la dernière guerre.
On suit avec grand plaisir la vie de cette femme courageuse et hors norme qui s’est consacré toute sa vie aux autres, et personnellement, j’ai appris encore des choses sur les traditions locales et la dureté de la vie en ce milieu rural du vingtième siècle.
Belle écriture, riche et soignée, un contenu très documenté grâce aux nombreux témoignages qui ont permis cette suite. On se laisse prendre par le récit et on retrouve Marie femme-courage avec grand plaisir. Très émouvant la fin du livre, sous forme d’hommage et de remerciements à tous ceux qui t’ont aidé à réaliser cette trilogie.
Le Baron du Plessis est aussi réussi que les ouvrages précédents. Tu termines brillamment cette série. Je salue encore ta plume fluide et alerte et ce regard posé sur cette belle page d’histoire. Merci pour ces bons moments, l’artiste !

Je viens de terminer « Les portes du temps », roman qui m’a accompagné tout au long des vacances de Noël. Après avoir lu La dame de Pago Pago, je pensais que je n’allais pas être déçu par le style de Joël, et je ne l’ai pas été. Une écriture belle, presque raffinée, des descriptions très précises. J’ai appris beaucoup de choses en lisant cet ouvrage. La vie des habitants du sud-Vendée, comme beaucoup de français ruraux à l’époque étaient d’une grande difficulté et j’ai souffert avec la pauvre Victorine, qui n’a pas été toujours gâtée par la vie et son mari. Les escapades au Tonkin m’ont permis de découvrir une implication de la France dans ces contrées lointaines que je connaissais mal et j’ai apprécié le suspense qui accompagnait parfois ces chapitres. Et puis j’ai appris plein de choses sur ce fameux sud-Vendée où je suis établi depuis un certain temps. Quel plaisir de retrouver les noms de rues, de villages, des pans d’histoire de cette belle ville de Fontenay ! J’imagine la somme de travail qu’il t’a fallu pour réunir tous les éléments de cette saga, que ce soit en généalogie ou en événements historiques et je suis admiratif de la justesse et de ta précision. Bref, un bien beau moment de lecture, et puis… Et puis j’arrive à la dernière page du récit, aux trois derniers mots et je reste scotché. Non, je ne savais pas, et je comprends à présent pourquoi le récit de cette incroyable Marie du Marais te tenait tant à cœur. Quel bel hommage tu lui as fait ! Bravo Joël pour ce très beau moment de lecture et je recommande évidemment cet ouvrage à tous ceux qui aiment les histoires vraies et authentiques.


les commentaires...

 

J'ai moi aussi, dans un registre différent, apprécié l'histoire singulière de Dolorès de La dame de Pago-Pago. J'ai appris pas mal de choses sur les Etats-unis, rafraîchis ma mémoire et j'ai pu apprécier dans ce dernier livre ta belle plume, descriptions remarquables, style élégant, vraiment. Continue comme ça !

 

Alors là, je vous avoue que plusieurs sentiments mon envahie en lisant ce livre qui se lit très très vite. À un moment, j‘étais tellement captivé et comme je voulais absolument savoir ce qui allait ce passer, je n’ai pas vu l’heure et me suis couché à 2 h du matin.

Je vais donc essayer de décrire simplement mes sentiments, sans non plus révéler l’histoire sinon ce n’est plus drôle pour les futurs lecteurs.

Dans un premier temps, j‘ai été émue par le personnage de Dolores et son histoire. Je me suis demandé ce qui allait lui arriver et comment elle allait s’en sortir lors de son arrivée aux Etats-Unis.

Par la suite, j‘ai été impatiente de savoir comment elle allait retrouver son père, à ce moment-là, je me suis un peu languis de connaître le dénouement.

Il y a aussi en parallèle l’histoire de Louis-Joseph, et de sa passion pour les Amérindiens, une histoire captivante. On voit à ce moment-là qu’il y a eu une réelle recherche d’informations de la part de l’auteur.

Tout au long du livre les années passent, on découvre l’histoire de l’Amérique, qui du coup parfois m’a un peu perdu avec toutes ses dates, mais là encore on voit que l’auteur à vraiment travailler son livre.

Je me suis pris également d’affection avec ce jeune homme Louis-Joseph.

À un moment donné, on devine ce que l’histoire de Dolores et Louis-joseph, va devenir, il n’y a pas de réelle surprise à ce moment-là. Mais de là une superbe histoire d’amour va naître et le livre prend une autre direction.

J’avoue avoir du mal à exprimer tout ce que j’ai ressenti, mais il ne faut pas en dire de trop.

Ce que j’ai regretté, c‘est le dénouement de l’histoire avec son père, je m’attendais vraiment à tout autre chose.

Pour finir, malgré cette petite frustration par rapport à cela, le livre est vraiment passionnant, l’histoire est belle, et comme du coup, on s’attend à une chose, mais que l’histoire nous apporte  une autre dimension  (je ne sais pas si c’est trop clair) on est vraiment captivé, et cela fait que l’on veut savoir comment va se dérouler le reste de l’histoire.

À la fin, je vous avoue que j’ai pleuré au moins les 10 dernières pages à grosses larmes (je suis peut-être un peu trop sensible) et  j’étais bien contente que mon mari dorme à point fermé, car il m’aurait sûrement pris pour une dingue, de me voir pleurer sur un livre.

Voilà je ne peux que vous conseiller ce livre.

Londres, Cambridge une lectrice fidèle.

 

 


Monsieur COUTEAU, bonjour,


Je ne pense pas que vous vous souvenez de tout le monde s'étant arrêté à votre emplacement de vente de livres lors du Salon du Livre à L'EPINE le Samedi 08 Août 2015. Nous avons cependant bien bavardé avec votre voisine que vous connaissez bien pour ces talents d'Ecrivain-public, Elisabeth . En effet, j'étais attirée comme un aimant en lisant le résumé de l'histoire de NINO. D'autres écrivains insistent à ce l'on achète des livres mais l'histoire ne m'instéresse pas forcément. D'ailleurs,  un des écrivains me regardait lorsque j'étais plongée à lire le résumé de l'histoire basée sur du vrai et romancé mais cela m'a vraiment interpellée. Je l'ai acheté. Je l'ai lu, j'étais subjuguée. Certains passages de la vie de NINO m'a interpellée à certains passages de sa vie qui me renvoyait à des moments difficiles de ma jeune vie. Ce sont parfois des passages vraiment très douloureux pour "NINO" qui a tant souffert de cette terrifiante maladie pendant 1 dizaine d'années, la schizophénie. Le nom de cette maladie fait peur, est effrayante mais je suis ravie d'avoir lu votre ouvrage qui mérite mes félicitations et m'a permis de connaître d'avantage les effets dévastateurs de cette maladie. Il a des circonstances atténuantes mais cette dernière a fini tout de même par l'entraîner vers le fonds du puits, dans des souffrances épouvantables : physiques, morales, psychologique, rupture avec l'entourage, le monde qui l'entoure et au final, on peut demander la mort, seule issue pour échapper à cette violence quotidienne. J'ai aimé également tous ces détails de cette terrible maladie qui désormais me donne un autre éventail. C'est poignant, criblant de vérité et surtout saisissant. Vous avez dû mettre beaucoup de temps à écrire, rayer, recommencer et enfin, à se décider de vraiment concrétiser votre souhait, raconter un parcours extrêmement difficile. Félicitations ainsi qu'à Elisabeth dont je viens de lui adresser mes impressions et mon choix du livre de "NINO". Il était important, gràce à votre livre, de pouvoir "conjurer" le mal par l'écriture qui est souvent une délivrance. La vie reprend. A bientôt de vous rencontrer dans un prochain salon. Bien cordialement. Madame  Monique. (Pupille de l'Etat qui a réussi sa vie professionnelle à force de ténacité, persévérance et détermination. (Ce qui sauve si on le désire vraiment mais je suis dans les 20% qui ne font pas subir ce que nous avons supporté à nos enfants).


J'achève moi aussi Grain de sel. J'ai bien aimé ces petits récits, certains sont savoureux. Je retrouve un peu l'âme de mes jeunes années dans certaines histoires, quand j'allais pêcher sur le gois avec mon père... En tout cas, c'est très bien écrit et on retrouve l'esprit de l'amoureux des îles que tu es ! J'ai passé un bon moment. 


« Nouvelle venue en Vendée, j'ai lu et aimé "Marie du Marais". J'ai reconnu des paysages récemment visités à Maillezais, Fontenay le Comte (Rue Catinat) et la forêt de Mervent. Ce roman est très bien écrit et relate la vie de nos grands-parents dans les marais.


Marcelle est une petite fille de la guerre. Placée très jeune chez un couple d'agriculteurs parce que sa mère ne pouvait pas subvenir à ses besoins, elle est choyée et aimée par ses parents d'adoption. A l'école, la jeune fille présente des qualités hors normes pour l'apprentissage et décide alors de devenir sage femme  dans le sud Vendée. Cela ne se fera pas sans concession. Elle sera surnommée "Marie du Marais".

Un vrai bon roman à offrir aux mamans ! L'histoire est touchante. Elle nous parle de pugnacité et d'amour. Elle n'a rien à envier aux romans d'Yves Viollier.

Librairie des Herbiers

Joël  Couteau vient d’écrire son deuxième roman*.  Après « Marie du Marais »,  coup de cœur des gens du sud-Vendée depuis 2011, l’ancien éducateur spécialisé récidive cette fois avec l’histoire d’un homme souffrant d’un lourd secret de famille... Un témoignage écrit « à deux voix »,  dix ans après avoir vécu une partie de l’histoire de Nino. Un personnage brillant mais tourmenté par une vie qui n’a jamais pu être tranquille...

            « Nino ou la force d’un destin » est sorti au salon du livre de Montaigu. Il est édité chez Durand-Peyroles et l’auteur sera en dédicace à Totem le samedi 18 mai de 10 heures à 18h30.

*Joël Couteau a aussi publié un recueil de nouvelles sur Noirmoutier « île était une fois Noirmoutier ».




Bonjour Joël

 

je viens de terminer Nino. J'ai beaucoup aimé ton livre. J'ai trouvé très habile de raconter l'histoire sous ces différents points de vue. L'histoire, ton témoignage et l'écrit de Nino. J'appréhendais un peu l'histoire d'un schizoprène pour avoir lu des bouquins que j'avais laissés en cours de route. Tout se lit bien et si tu ne m'avais pas parlé du sujet avant de le lire, j'aurais douté de la véracité des écrits de Nino. Trop bien, trop lucide, trop bien écrit. Mais je crois comme tu le dis à la fin que tu as respecté son manuscrit. C'est vrai que Nino était littéraire et que tu as caché certains passages. Mais c'est bien, ça rend la lecture d'autant plus agréable et tu as su bien découvrir progressivement son histoire.

Merci pour ce bon moment de lecture et je pense que tu auras un succès au moins égal à celui de Marie.

A d'autres rencontres.

Amicalement.

Christian


J'arrive bientôt à sa fin et j'ai été captivé par cette histoire jusqu'à présent, encore quelques chapitres et je serais enfin soulagé de certaines tentions que ma procuré celui ci. Que dire de plus que, pour quelqu'un qui ne lit pas souvent, en parlant de moi, bien sûr, je pourrais partager encore des moments libres avec des lectures analogues. Bravo..Sortie de NINO

Juste pour vous dire que j'ai fini Nino depuis plus d'une semaine déjà et c'est vraiment un livre magnifique, merci et continuez de nous faire partager votre si belle plume et ses moment de vie, ses histoires magnifiques.

 

Un récit émouvant et prenant.

J’ai lu et terminé  hier soir, et avec le plus grand plaisir, Marie du Marais dédicacé au matin.  J’ai beaucoup apprécié votre style et la « construction » du roman. Originaire de Maillezais par ma famille, je connais bien le sud Vendée, j’ai suivi la lecture sur les routes parcourues à la rencontre de Marie. J’ai eu plaisir à retrouver Achille Daroux. Vous ne m’en voudrez pas si je remets en cause certains passages concernant l’historique de l’abbaye St Pierre et si je me pose la question de savoir si  Henri avait bien la clé du site et y faisait des visites. Je suis guide conférencière sur le site depuis 1994 et depuis le rachat par le Conseil général en 96, j’utilise le code pour entrer. C’est un détail  sans aucune  importance pour le récit : juste une déformation professionnelle.  S’il vous plaît, ne m’en voulez pas si tout ce qui touche l’abbaye me tient tant à cœur. En attendant, merci à vous et j’attends la parution de vos prochains livres.

Bien cordialement,

Marie-Odile Linzer Journaliste à Maillezais